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Maroc: Le big bang social aux pas accélérés impulsés par le Roi Mohammed VI

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Lorsque le Roi du Maroc s’est adressé le 29 juillet 2023 à son peuple à l’occasion de la célébration du 23ème anniversaire de son accession au trône de ses ancêtres, les marocains ont retenu un seul mot d’ordre : le sérieux. C’est l’appel pressant que lançait le souverain à son peuple pour continuer la marche du progrès, de la prospérité et du mieux-être de tous les Marocains. C’est en tout cas la boussole qui a guidé et continue de guider l’action royale et les résultats ne sont plus à démontrer. Ces vingt dernières année le royaume chérifien s’est imposé sur le plan internationale et son leadership en Afrique est plus qu’éclatant. Aller au-delà des discours et poser des actes concrets, le souverain ne ménage aucun effort pour démontrer à ces concitoyens comment diriger son pays avec du sérieux.

Au moment où sa Majesté le Roi célèbre son soixantième anniversaire de naissance, les résultats enregistrés sur le plan social sont plus éloquents pour démontrer à suffisance l’efficacité de l’action royale. Depuis son accession au trône en 1999, le Roi Mohammed VI a lancé de nombreux programmes sociaux avec pour objectif de gagner le pari de la lutte contre la pauvreté et les disparités. Les investissements massifs dans les infrastructures ont constitué le fer de lance de cette politique de développement imprimée par le Roi.

Concrètement, les Marocains peuvent se féliciter du processus de généralisation de la couverture sociale au profit de tous, voulu et mis en œuvre depuis 2020 par le Roi. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Ce programme a consisté à l’élargissement de l’Assurance maladie obligatoire à 22 millions de nouveaux bénéficiaires, la généralisation des allocations familiales ciblant 7 millions d’enfants en âge d’être scolarisés, l’élargissement de l’assiette des adhérents aux régimes de retraite à 5 millions de personnes exerçant un emploi, enfin la généralisation de l’indemnité pour perte d’emploi d’ici à 2025. Pour mesurer la volonté politique accompagnant toutes ces mesures, le royaume a mis en œuvre une réforme inédite d’un coût annuel de 51 milliards de dirhams (environ 4,7 milliards d’euros), soit l’équivalent de 4,25 % du PIB marocain, sachant que le budget général de l’État en prendrait 23 milliards de dirhams (environ 2,1 milliards d’euros) à sa charge.
Sur le registre de la protection sociale plus large, le Maroc a fait un véritable bond.

Par exemple, entre décembre 2020 et avril 2023, le royaume est passé de 7,8 millions de bénéficiaires de l’assurance maladie à 23,2 millions. Parmi ces nouveaux affiliés, il y a 3,6 millions de travailleurs non-salariés et leurs ayants droit ainsi que 9,4 millions de bénéficiaires de l’AMO-Tadamon. De fait, selon l’Agence nationale de l’assurance-maladie (Anam), 79,8 % de la population marocaine bénéficient à fin septembre 2022 d’une forme de couverture médicale, contre 74,2 % à fin 2021.

Dans la dynamique de modernité, le souverain marocain a également fait bouger les lignes sur l’épineuse question relative aux droits des femmes. Dans une société à fort ancrage conservateur, le Roi Mohammed VI a su conduire le processus de modernisation du statut de la femme marocaine en 2004 à travers la réforme dite de la Moudawana (le Code de la famille et du Statut personnel). Cette réforme qui est toujours en cours bénéficie d’une réelle volonté politique manifestée par le Roi.
Lors de son discours du Trône de 2022, le roi Mohammed VI a annoncé l’Acte II de la réforme de la Moudawana. Il avait particulièrement insisté sur la nécessité d’instaurer davantage d’égalité entre les femmes et les hommes. « Quand les femmes accèdent pleinement à leurs droits, elles ne portent aucun préjudice aux hommes, pas plus qu’elles ne se font tort. De fait, la condition sine qua non pour que le Maroc continue de progresser est qu’elles occupent la place qui leur échoit et qu’elles apportent leur concours efficient à toutes les filières de développement », avait-il indiqué, demandant une mise à jour des législations dédiées à la promotion de ces droits.

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