Sortie du Maroc de la liste grise: un désaveu aux détracteurs du royaume au sein du parlement européen
C’est une victoire de plus que le Maroc vient d’enregistrer sur la scène internationale. Le Groupe d’Action Financière vient de prendre une décision sans équivoque qui conforte le royaume dans son statut de pays modèle dans la bonne gouvernance. Le GAFI a décidé ce vendredi 24 février 2023, à l’unanimité de ses membres, de sortir le Royaume du Maroc du processus de surveillance renforcée, connu sous le nom de « liste grise ». La décision prise par cette haute instance internationale est loin d’être une faveur accordée au royaume chérifien.
En effet, ce verdict qui vient couronner les efforts des autorités marocaines sous le leadership de sa Majesté le Roi, intervient après évaluation de la conformité du dispositif national avec les normes internationales relatives à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. C’est donc avec brio que le Maroc vient de passer sans encombre cet examen depuis l’adoption par le GAFI, en février 2021, du plan d’action spécifique au Royaume. C’est un signal fort qui a retenti sur le sol français, comme pour souligner que le Maroc venait à l’évidence de faucher l’herbe sous le pied de la France, cette France qui a abrité du 20 au 24 février l’Assemblée Générale du GAFI, cette France qui s’illustre ostentatoirement par un acharnement contre le Maroc.
Pendant que le parlement européen sur instigation de certains pays aux intérêts inavoués s’acharnent contre le Maroc, le Royaume a plutôt choisi de faire parler ses bons actes, de laisser triompher les résultats de sa politique de réformes, de manifester les incidences positives de la vision futuriste qu’incarnent les autorités marocaine avec à leur tête le souverain. Aucun observateur ne peut rester insensible à cet exploit réalisé par ce pays d’Afrique du nord qui démontre à suffisance qu’il est bien loin des clichés que ses détracteurs peignent de lui.
Ce rapport, en vertu duquel le Maroc est sorti de la liste grise, a salué l’engagement politique formel du Royaume pour la conformité du dispositif national de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, avec les normes internationales, ainsi que le total respect par le Maroc de tous ses engagements dans les délais fixés. Ironie de l’histoire, c’est au moment où le Maroc sort de la liste grise qu’un pays comme l’Afrique du sud, soutien des séparatistes du polisario, y fait son entrée. La sortie du Maroc de la liste grise impactera sans doute positivement les notations souveraines et les notations des banques locales, tout comme elle renforcera l’image du Royaume et son positionnement lors des négociations avec les institutions financières internationales, ainsi que la confiance des investisseurs étrangers dans l’économie nationale.
C’est dire que le Royaume du Maroc voit grand et se démarque par son leadership sur le continent Africain à travers sa politique de développement. Les résultats engrangés sont plus éloquents que les discours que distillent les médias de propagandes dont se servent les détracteurs du Royaume.