Togo: un ancien responsable de la JCI Tsévié aux côtés des jeunes entrepreneurs
Après un mandat sous le thème « Agissons durablement » exécuté avec brio pour le compte de la Jeune Chambre Internationale (JCI) Tsévié Palme d’Or et qui s’est achevé en décembre dernier, Koffi Firmin DJADJE ne manque pas d’initiatives. Il compte désormais mettre son expérience au service des jeunes impliqués dans l’entreprenariat. Un projet ambitieux qui a plus que jamais besoin d’un appui consistant et un accompagnement sans faille pour un heureux aboutissement.
Pour réussir sa mission l’homme a besoin du soutien de l’Etat, des ONG. Au cours de son mandat, l’ex responsable de la JCI Tsévié Palme d’Or, s’est attelé à l’exécution des projets en lien avec sa feuille de route et le Programme National de Développement (PND). A savoir, la Sécurité routière phase 4, don de kits scolaires à Ayivi Kopé dans la commune zio 2, don de tables bancs au CEG kpevego commune zio 3. Des actions qui s’inscrivent dans le cadre de la politique de responsabilité sociétale de la JCI : Il offre aussi aux jeunes venant de tous les horizons l’opportunité d’étudier, de progresser et de valoriser leurs talents. En un mot, au cours de son mandat, Koffi Firmin DJADJE s’est inscrit dans des actions multisectorielles de développement.
Aujourd’hui, l’ex responsable envisage accompagner la jeunesse engagée dans l’entreprenariat mais confrontée à des problèmes divers. Cette vision pertinente s’articule autour des axes stratégiques portant sur l’entrepreneuriat des jeunes, le management associatif, la citoyenneté responsable, l’éducation de la prospérité, entre autres. La grande règle demeure, « L’engagement pour le bien être humain au sein des associations demandant plus que ce qui est écrit : Du temps, de l’énergie, de l’émotion mais aussi de la stratégie et de l’âme. Refondre un texte, Reformuler une action, Démonter et remonter les fondements… pour la pérennité. Pour y parvenir, l’ex responsable de la JCI Tsévié Palme d’Or, entend mettre en œuvre les objectifs généraux figurant dans son discours programme qui s’imposent comme une symphonie inachevée à parachever. A savoir, s’engager pour améliorer l’organisation et la communauté ; cultiver l’esprit d’entreprise auprès de la jeunesse et vivre les principes du développement durable.
Quand on considère que cette initiative louable au bénéfice de la couche la plus dynamique du pays, n’est pas sans sacrifice, la nécessité de mobiliser des ressources requises, s’impose. Dès lors, il incombe aux bonnes volontés, organismes nationaux et internationaux, voire l’Etat de voler au secours de ce fils du pays, déterminé à apporter sa modeste contribution à l’édification de la nation à travers la création d’emplois, la mise en œuvre de l’Axe 3 du programme national de développement et par voie de conséquence, la lutte contre la pauvreté au Togo.